Les critiques

Ce qu'on dit d'elle, ce qu'on dit de ses albums, tout se trouve sur cette page donc n'allez pas plus loin... On peut rajouter à cette page la mention "Explicit content"...

 

  • D'un internaute critiqueur, sur l'album "Hardcore" - "En voyant la pochette, vous vous dites peut être qu'elle ne doit pas avoir constamment sa langue dans sa poche, ah ça non !!! Lil'Kim n'est autre que la rappeuse du groupe Junior Mafia, avec qui elle interprète le morceau Queen Bitch, que vous avez peut être écouté sur l'excellent B.O High School High. Lil'Kim, à peine âgée de dix-huit ans, a déjà une reputation de Bitch, le titre de son LP Hard Core en témoigne et son rap sanglant n'a rien d'innofensif, il pourrait même figurait dans les annales... rappologiques. Faut-il rappeler tout de même que cette petite n'a pas pour autant été boudée par le staff production, jugez plutôt: On retrouve The Notorious B.I.G. qui balance quelques rimes sur No Time, Crush On You, Drugs, Take It et Fuck You, qu'il produit."

  • Du "Radikal" de juillet/août 2000 à propos de l'album "Notorious Kim" - "Il y a 4 ans, souvenez, Kimberly Jones alias Lil'Kim sortait son album "Hardcore" qui marqua les esprits du fait de son attitude et ses textes où son flow révolutionnait le rap féminin. Aujourd'hui, elle revient sur le devant de la scène avec un nouvel opus intitulé "Notorious Kim". La rappeuse sensuelle et sexy e junior MAFIA n'a donc pas oublié celui qui a été son père spirituel et plus encore... La mort de B.I.G. a marqué toutes les mémoires et celle de Kim particulièrement. Alors prétentieux challenge que sortir sous l'étiquette "Notorious Kim"? A l'écoute de l'album, sûrement pas! Elle conserve à merveille sa provocation lyricale, la production de Puffy est remarquable et les invités de tailles. On retrouve notamment Redman, Mary J. Blige, Grace Jones et Lil' Cease, La Junior MAFIA, pour ne citer qu'eux. Le morceau "Révolution" est d'ailleurs une des grosses tueries de l'album : le flow de Lil' Cease est harmonieux accordé à celui de 'Kim où celle-ci n'oublie pas de revendiquer comme à son habitude "I'm a bitch...", si tant est qu'il fallait nous le rappeler. Et, pour ceux qui n'auraient pas encore compris sa position, elle rajoute une couche sur le morceau "Queen Bitch pt. 2", suite logique du premier album ( qui devait s'intituler initialement "Queen Bitch" NDLR). Un peu de nostalgie sera ressentit à l'écoute de ce morceau où la voix de Notorious B.I.G. accentue la qualité du featuring de Puffy. Ce ne sera d'ailleurs pas le seul morceau où on aura le plaisir de retrouver la voix du défunt. Vous me direz, c'était la moindre des politesses après avoir osé emprunté un tel titre sur l'album. Alors "Who's number one"? Lil'Kim est bien loin du trottoir et du temps où elle était encore SDF. Il ne serait pas surprenant qu'elle réédite la performance du premier opus (disque de platine pour plus d'un million d'exemplaires vendus, NDLR), si ce n'est plus...

  • De Rapafromage.com sur l'album"The Notorious K.I.M." - On l'attendait depuis des mois, jusqu'à se demander s'il allait sortir un jour : cette fois, Kim se dévoile avec son deuxième album et le résultat est mitigé. Si l'omniprésence lyrique - voire physique - de l'ancien amant de Kim Biggie Smalls confine à la nécrophilie, c'est surtout la faiblesse d'un bon tiers des instrumentaux qui plombe ce second opus. S'il y a un terrain sur lequel Kim ne craint personne, c'est la fiction : son récit a la première personne dans "Aunt Dot" est comme une pulp fiction, avec suspense et musique adéquate. Mais trop de chansons sonnent creux, la multiplication des métaphores sexuelles ne fait plus sourire autant (après 23 rimes en "pussy'", on se lasse) et il faut le renfort d'une vieille scie comme "Tom's Diner" de Suzanne Vega pour booster "Off The Wall", l'un des probables futurs singles. Peut-être le temps aidera-t-il à mieux apprécier ce "Notorious K.I.M à sa juste valeur. En attendant, foncez vers les singles de cette merveilleuse salope qu'est Kim : "Suck My Dick", "Queen Bitch II" ou "Custom Made", qui recycle le beat du "French Kiss" de Lil'Louis comme le fit voilà quelques années notre Lagaf national ("Bo Le Lavabo"). Mais là, on devient vraiment vulgaire.
  • Par Valérie Godalier sur Music 365.fr sur le retour de Kim - De retour en l’an 2000 avec son nouvel album, Lil’Kim confirme ce que l’on savait déjà. Contrairement à d’autres rappeuses comme Queen Latifah, MC Lyte, Da Brat ou Yoyo, elle ne défend pas la cause féminine mais a choisi de surenchérir le discours machiste des rappeurs noirs-américains. Sur la pochette de son nouveau single « No Matter What They Say », elle pose en cuir moulant et écarte les jambes. Personnage adulé à la notoriété grandissante, Lil’Kim qui a même eu de velléités pour tourner dans un porno, affiche clairement son statut d’icône sexuelle. Elle pose nue sur la couverture du magazine « U.S. Interview», dans un bain moussant sur « XXL », qui lui consacre 13 pages, et se laisse photographiée par David Lachapelle pour la couverture d’été du magazine « Vibe ». Son imagerie n’offre aucune ambiguïté. Lil’Kim est belle et elle le sait. Son album, repoussé à de nombreuses reprises, produit par son nouveau manager Puff Daddy, reste néanmoins un album majeur dans la rap qui devrait s’inscrire dans la droite lignée de Hard Core vendu à plus d’un million d’exemplaires aux Etats-Unis. Sex-Symbol rapologique, Lil’Kim sait néanmoins bien s’entourer. Si Cee-Lo de Goodie Mob et Redman lui prêtent main forte sur « Lil’Drummer Boy », elle a convié la rescapée Grace Jones sur « Revolution », Sisqo sur « How Many Licks ? », Carl Thomas sur « Right Now » et sa grande copine Mary J. Blige sur « Hold On ». L’ancienne petite fille des rues qui vient de monter son propre label Queen Bee Entertainment peut se targuer d’avoir fait un percée fulgurante dans le monde du show-business et des paillettes.

  • Par Gwillerm sur Mcity.fr sur La Notorious Kim - La Queen Bitch a su se faire désirer avant de présenter son cocktail de sexe, de vulgarité et de clinquant.
    Le moins que l’on puisse dire est que la Queen Bitch a su se faire désirer. Annoncé depuis un an, Lil Kim a multiplié les couvertures de magazines féminins et people. Kim se justifie : "La mort de Big m’a affecté dans ma vie à plus d’un point de vue". Kim avait rencontré son mentor, Notorious Big, au début des années 90. Elle est révolutionnaire en tant que femme exprimant des pensées vicieuses (voire pornographiques) mises en rimes depuis des années par des mâles. Kim sort sur son propre label (Queen Bee Records) un disque putassier, cocktail de sexe, de productions clinquantes et de textes vulgaires. La pochette très nouveau riche est à l’image du contenu musical. L’équipe Bad Boy assurant les musiques nous emmène dans des ambiances flamenco ("Suck My D**k") ou House. "Right Now" sample le "Tom’s Diner" de Suzanne Vega. Kim s’entoure entre autres de Grace Jones (de passage au studio des Bahamas par hasard) et de Sisqo pour "How many Licks ?". La question valait la peine d’être posée. La rythmique de "Custom Made" est un gémissement de jouissance mis en boucle (sample de Lil Louis). A l’hymne égocentrique "Who’s number one ?" on répondra que l’année 2000 est l’année Y2Kim. C’est pas bandant tout ça ?

 

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