Biographie
L'histoire de la jeune chanteuse est ici sur cette page, alors l'intérêt est énorme si vous voulez tout savoir sur Lil'. Cette page contient également un portrait et un résumé.
Kimberly Jones est née le 11 juillet 1975 à Brooklyn, lieu qui est aussi le repère d'autres rappeurs comme Big Daddy Kane, M.C. Lyte, et également celui d'une autre célèbre rappeuse, Foxy Brown. Kim a toujours été douée pour écrire des chansons; au lycée, elle était déjà un poête originale et elle a toujours rêvé d'être une artiste, n'importe quel artiste. Sa première ambition était d'être actrice, mais elle a basculé dans le rap après avoir rencontré un type également originaire de Brooklyn. Un certain Christopher Wallace, Plus connu sous le surnom : Notorious B.I.G.. Il
fit rentré Kim dans son collectif de rappeurs appellé "Junior Mafia".
Après que B.IG. connaisse le succès solo, il revint pour
sa cohorte et les signa sur son propre label, Undeas Records, sur lequel il
partageait la production avec Lance Rivera, un pote de son entourage. Ensuite
Kim sortit le simple "Playa's Anthem" avec sa bande, ses propres-écrits
se font entendre, elle fit la renommée de "Junior Mafia"; les rues
voulaient l'entendre plus, encore plus. D'où la sortie en 1996 de son album,
"Hardcore" (disque de platine) qui contient des extraits
qui sont devenus disques d'or et disques de platine, dont le tube Crush On
You, sur lequel apparaît B.I.G.
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Le titre de son deuxième album, The Notorious Kim, est sans aucun doute un hommage à Notorious B.I.G. son mentor, maître et amant assassiné par balles dans les rues de la Grosse Pomme. C’est en effet Biggie qui lance la jeune fille de seize ans, aujourd’hui devenue une femme de vingt deux ans, dans le show-bizness et dans le rap. Elle dit d’ailleurs à ce sujet dans la presse »Biggie m’a beaucoup influencée tant dans la musique que dans le vie. Je le considérais comme un frère ». Lorsqu’en 1995, Notorious Big sort l’album prophétique Ready To Die, il décide de mettre en avant son équipe "Junior Mafia". Il prend Lil’Kim et son frère Lil’Cease sous son aile. Il sort alors l’album Conspiracy sur le label Undeas. Bingo! L’album devient de suite disque d’or et les titres « Player’s Anthem » et « Get Money » installent la crédibilité de la rappeuse. Une crédibilité qui joue sur les talents vocaux mais surtout sur les atouts féminins de la demoiselle. Il faudra deux années pour que Lil’Kim passe du statut de cendrillon des rues à celui de superstar. Lorsqu’en 1997 sort son premier album solo intitulé Hard Core, le ton est lancé. Biggie, alors manager de la rappeuse, qui voulait intituler l’album Queen Bitch construit autour de son égérie une image incendiaire de rappeuse sexy et sans tabous. Lil’Kim se prête sans fausse pudeur au jeu, et d’ailleurs, la pochette de cet album ressemble à s’y méprendre à une photo érotique bas de gamme. Les apparitions publiques à sensation se multiplient, les « lyrics » sont explicites, les photos outrageuses et les jeux de scènes suggestifs. Lil’Kim ne mâche pas ses mots pour parler de sexe. Une idée marketing qui fait recette, savamment entretenue par sa maison de disque et son management. D’ailleurs le titre « Suck My Dick » extrait de son dernier album est clair et les propos incantatoires Tous mes potes m’appellent M&M’s parce que ma chatte leur fond dans la bouche et pas dans la main !
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Aujourd’hui sacralisée reine de New-York, Kimberley Denise Jones, est devenue la star du hip-hop US féminin. L’ex-SDF qui arpentait le bitume seule à 16 ans, battue par son père qu’elle finira par poignarder, Lil’Kim, l’héroïne salace native de Brookyn, que tous les magazines s’arrachent.
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